Un camp d'entraînement très physique à Brooklyn
Jordi Fernandez, qui vient d'arriver sur le banc de Brooklyn, a mis l'accent sur la dimension physique pour le camp d'entraînement des Nets.
Ziaire Williams résume très bien la situation des Nets. « On essaie de trouver notre identité : être l’équipe la plus physique et la plus rapide sur le parquet », dit-il alors que Brooklyn n'est clairement pas attendu parmi les meilleures équipes de la ligue cette saison. Pour cela, il faut travailler physiquement, ce que Jordi Fernandez a bien compris.
« C’est sans doute un des training camps les plus spéciaux et durs que j’ai connus depuis 12 ans. Tout le monde est dedans. Le coach et les assistants font un excellent boulot pour nous garder organisé, ensemble. C’est génial », raconte Dennis Schroder. « L’effort et l’intensité sont très importants », précise Cam Johnson.
« On va avoir une sacrée condition physique », se réjouit même Dorian Finney-Smith. Les Nets vont manquer de talent mais, au moins, ils auront le souffle et la puissance physique pour résister.
« On fait beaucoup de répétitions, beaucoup de choses très physiques. On change un peu la culture. On fait de la pression tout-terrain en défense et, quand on est en attaque, on est attaqué dès la remise en jeu. Donc c’est génial. Il faut s’adapter », déclare le meneur de jeu Allemand. « Il y a beaucoup de courses, de mouvements. Il est demandé de mettre la pression tout-terrain, de jouer dur », confirme Johnson.